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de financement
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Entreprises en difficulté

Les financements possibles pour une entreprise en difficulté

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Comment financer les besoins d’une entreprise en difficulté ?
Entreprises en difficulté, ne restez plus seuls ! Des solutions existent pour vous permettre de réaliser des investissements et de retrouver votre trésorerie.

Conjoncture économique difficile, perte d’un client important, augmentation du BFR, revalorisation
des charges et de l’imposition… les sources de difficultés des entreprises françaises sont nombreuses.
Ces périodes sont caractérisées par des tensions dans la trésorerie et des difficultés de paiement. Si
les problématiques de fond ne sont pas traitées rapidement, la survie même de la société peut être
compromise.


Heureusement, des solutions sont à la disposition des artisans, des commerçants, des professions
libérales ou encore des dirigeants de PME. Comment une entreprise en difficulté peut-elle continuer à financer sa trésorerie et ses investissements ?


3 solutions pour financer son entreprise en difficulté

Face aux problématiques rencontrées, il est important de réagir vite et suffisamment tôt pour mettre
toutes les chances de son côté. Focus sur les acteurs qui participent au financement des entreprises en difficulté.


Solution n° 1 : recourir aux aides publiques

L’État français propose plusieurs dispositifs d’aide pour les entreprises en difficulté.

Les trois principales sont les suivantes :

  • Le report, l’allègement ou la remise de tout ou partie des dettes fiscales et sociales. Il est nécessaire de s’adresser à la CCSF (Commission des chefs de services financiers) pour en connaître les modalités exactes.
  • Le Codefi (Comité départemental d’examen des problèmes de financement des entreprises), quant à lui, a pour mission d’accompagner les sociétés de moins de 400 salariés : crédit, audit, conseil, médiation, etc.
  • Pour les entreprises en difficulté de plus de 400 employés, il est nécessaire de se tourner vers le Ciri (Comité interministériel de restructuration industrielle). Ses missions sont comparables à celles du Codefi.


Solution n° 2 : solliciter un crédit auprès d’une banque

Le crédit bancaire est généralement le premier mode de financement auquel on pense lorsque l’on
est chef d’entreprise. Cependant, il est bien souvent très difficile de pouvoir compter sur ce type de
financement dès l’apparition des premiers signaux de difficulté. Un compte bancaire souvent
débiteur, une comptabilité dégradée ou des mouvements sur le compte qui diminuent, et l’accès à
l’emprunt classique devient un véritable parcours du combattant.

Pour maximiser les chances d’obtenir un retour positif, plusieurs facteurs influencent grandement la décision de la banque :

  • le moment où le crédit est demandé. Si les difficultés semblent passagères ou légères, l’octroi du crédit bancaire est plus facile ;
  • la préparation du dossier, avec un business plan et un prévisionnel cohérent. Il est nécessaire de présenter toutes les mesures prises pour redresser la situation ;
  • la possibilité de fournir un apport d’au minimum 30 % du montant global du projet de la part de l’entrepreneur ;
  • la présentation par le dirigeant de solides garanties. La caution personnelle et solidaire peut être demandée.

Cela engage le chef d’entreprise sur ses revenus et ses biens propres, il faut donc être très prudent avant de fournir une telle garantie.
Une entreprise peut solliciter l’intervention d’une banque lors de difficultés pour plusieurs raisons :

  • afin d’obtenir un emprunt professionnel classique pour financer du matériel ;
  • pour faire face aux besoins de trésorerie. Cela peut être le cas via un crédit de trésorerie, une facilité de caisse ou encore par la mise en place d’une ligne d’escompte, de Dailly ou d’affacturage ;
  • pour demander le réaménagement de ses emprunts actuels (regroupement, allongement de la durée, etc.) ;
  • dans l’objectif d’établir un plan de restructuration.


Solution n° 3 : faire appel à des solutions non bancaires

Face aux difficultés de financement via les banques que rencontrent les TPE et PME françaises, des
solutions alternatives sont apparues.

La location simple ou évolutive : ce type de contrat lie l’entreprise avec un organisme de crédit. Ce
dernier est le propriétaire du matériel et la société en est son locataire, sur le même principe que la
location d’un local ou de bureaux. On parle donc de loyer, et non plus de mensualité ou d’échéance.
Ces loyers peuvent être constants (linéaires) ou dégressifs. Le financement s’effectue TTC,
l’entreprise n’a donc pas besoin d’avancer la TVA et conserve sa trésorerie.

La cession-bail (ou lease-back) : lorsqu’une entreprise a déjà fait appel à un financement bancaire ou
a autofinancé un investissement, le lease-back est une solution particulièrement utile pour retrouver
des liquidités. En effet, la société revend son matériel à l’organisme financier et en devient
immédiatement locataire. Cette solution est donc adéquate pour les entreprises qui éprouvent des
tensions de trésorerie.


Entreprises en difficulté : trouvez une solution de financement en adéquation avec vos problématiques grâce à Corolease

Aux problèmes structurels ou conjoncturels, il faut ajouter la difficulté d’accéder au financement
bancaire dans les périodes de tension. Or, il est primordial pour une entreprise de continuer à
investir : pour conserver un parc de matériel performant, pour répondre aux besoins de ses clients,
pour optimiser son processus de production, etc.

La location financière ou encore la cession-bail sont deux solutions non bancaires qui permettent
aux entreprises de pouvoir poursuivre leur activité malgré les difficultés rencontrées. Les solutions de
financement non bancaires sont particulièrement plébiscitées par les entreprises en difficulté pour
leur simplicité d’octroi et leur rapidité de mise en place. Corolease est un acteur totalement
indépendant des banques : retrouvez-en tous les avantages dans cette rubrique.

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