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Entreprises en difficulté

Comment reconnaître une entreprise en difficulté ?

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3 signes pour reconnaître une entreprise en difficulté:
Des signaux d’alerte permettent de reconnaître facilement lorsqu’une entreprise est en difficulté.

Zoom sur les principaux voyants à observer.

En tant que dirigeant, il est parfois difficile de reconnaître les difficultés de sa société. Certainssignaux, cependant, apparaissent généralement et doivent être relevés au plus tôt pour avoir le temps de réagir. Comment reconnaître une entreprise qui rencontre des difficultés ? Quels sont les voyants qui doivent alerter le dirigeant ?


3 signaux d’alerte pour repérer une entreprise en difficulté

Quand les difficultés sont diagnostiquées à temps dans une entreprise, il est encore possible de
surmonter les épreuves et de réagir. Des solutions existent pour les chefs d’entreprise : mandat ad
hoc, conciliation, médiation… Encore faut-il être en mesure de repérer les voyants qui se mettent au
rouge
. En règle générale, deux ou trois signaux apparaissent conjointement et sont la traduction de dysfonctionnements souvent plus profonds.


Signal n° 1 : l’état de la trésorerie

Un chiffre d’affaires qui progresse n’est pas nécessairement corrélé à une trésorerie saine. Souvent
utilisé comme premier indicateur, l’accroissement de l’activité ne doit pas être le seul point de
repère. La performance d’une société dépend de bon nombre d’autres facteurs, et en particulier de
sa trésorerie. Avoir des liquidités suffisantes est nécessaire pour régler ses échéances de prêt, payer
les traites, faire face au paiement des salaires… En clair : pour aborder sereinement l’avenir.
Les tensions dans la trésorerie doivent être analysées en détail : quel est le niveau de stock ? Quels
sont les délais de règlement des principaux clients ? À combien de jours sont payés les fournisseurs ?


Toutes ces questions fournissent un premier angle pour assainir la situation. Selon les secteurs
d’activité, être accompagné dans le financement du poste client par un organisme bancaire est
souvent une étape indispensable.


Signal n° 2 : le chiffre d’affaires

Si le chiffre d’affaires ne doit pas être l’unique indicateur, il est tout de même des situations qui
doivent alarmer le dirigeant. En effet, une diminution ou une stagnation des recettes de l’entreprise
a une influence directe sur la trésorerie de celle-ci. L’idéal est de constituer un tableau de bord
disposant de graphiques, qui permettent un suivi visuel et rapide de la situation. De plus, connaître le
chiffre d’affaires prévu et celui réellement réalisé permet d’analyser les causes d’écarts trop grands :
l’entreprise a-t-elle perdu des contrats importants ? Le service après-vente fonctionne-t-il bien ? Où
en sont les réalisations des commerciaux ?


Le chiffre d’affaires doit constamment être rapproché de l’état de la trésorerie pour fournir des
informations utiles. En effet, les encaissements effectivement réalisés par rapport au chiffre
d’affaires permettent de savoir si certains clients ont des retards de paiement et de pouvoir se rapprocher d’eux dans les meilleurs délais : ont-ils eux-mêmes des difficultés financières ? Ont-ils des réclamations (non-conformité ou malfaçons sur un chantier) ?


Signal n° 3 : la rentabilité dégagée

Si cette composante semble logique aux yeux de tout entrepreneur, il n’en reste pas moins que la
rentabilité réelle est parfois difficile à déterminer. En effet, la plupart des données chiffrées
facilement analysables sont les comptes fiscaux de l’entreprise, c’est-à-dire le bilan, le compte de
résultat et les annexes. Or, les données comptables datent souvent de 12 à 18 mois auparavant. Se
baser sur les soldes intermédiaires de gestion (SIG) est une première approche analytique très utile.
Attention, il ne faut pas s’arrêter à l’EBE (excédent brut d’exploitation), bien que ce solde soit
particulièrement intéressant : les charges financières doivent aussi être prises en compte. En effet, il
arrive souvent qu’elles représentent des montants importants.


Les informations issues de la comptabilité constituent le passé de l’entreprise, non sa situation
actuelle, et encore moins sa situation future. Il est donc nécessaire de suivre la situation via des
tableaux de bord sur la base des données actuelles ainsi que des prévisions. Savoir si une activité est
bénéficiaire ou déficitaire revient à savoir si l’entreprise travaille à perte ou à profit. Les tarifs
pratiqués doivent au moins couvrir les charges ainsi que les renouvellements et les investissements
qu’il est nécessaire de réaliser régulièrement.


Corolease répond présent pour les entreprises en difficulté

Lorsqu’une entreprise rencontre des difficultés, il est souvent nécessaire de prendre des décisions
importantes. Pouvoir compter sur un partenaire financier pour continuer à investir est essentiel.
Bien souvent, les organismes bancaires classiques se protègent lors de l’apparition de signaux
négatifs : compte bancaire débiteur, comptabilité dégradée, procédure de redressement judiciaire, etc.
En étant totalement indépendant des banques, Corolease a pour volonté de continuer à
accompagner les sociétés en difficulté et de les soutenir dans leur volonté de réussir.

Nous proposons des solutions de location financière et de lease-back particulièrement adaptées à ces
situations. Contactez-nous dès aujourd’hui pour obtenir une proposition de financement.

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